La femme n'est pas toujours sagesse,
Elle aime la tendresse et les caresses,
Elle sait être tigresse,
Jouer de ses griffes avec délicatesse,
Sans pour autant être perverse,
Avec tendresse et finesse,
Elle vous conduira dans sa forteresse,
Dans un moment de faiblesse,
Elle vous montrera ses fesses,
Si vous savez agir avec souplesse,
Elle vous laissera peut-être son adresse !!!

D’un geste tu dégrafes mon pantalon

Prestement il se cale sur les talons

Mon attribut viril tend mon caleçon

Vais-je passer pour un étalon ?

Tes mains caressent ma peau nue

Féline, câline, mutine, ingénue

Tu mets mon cœur à nu

Quand tu t’éloignes à pas menus.

Mais lentement tu te dévêtis

Moi sagement me languis

Avec toi jamais ne m’ennuie

De jour comme de nuit…

Près de moi tu t’allonges

Les caresses tu prolonges

La vallée de l’amour je longe

La fièvre des sens me ronge…

Quand sur toi enfin je plonge

Je libère cette énergie qui me ronge

C’est encore plus brûlant qu’en songe

Mais qu’as-tu donc fait de l’éponge ?

La nuit file sans escale

Et contre toi je me cale

Bien plus, je me régale

Zut, sept heures, il faut que je me cavale…

Il y a eu pour nous la période tendresse

Succombant à la phase caresses

Et tout naturellement, un jour

Sans prévenir naquit l’amour…

Sans tambour ni trompette

Chaque jour devint une fête

Adieu amitié, bonjour amour

Pour un jour, pour toujours !

Grande est notre complicité

Totale est notre confiance

Tout est clair et simplicité…

Chaque jour est un conte de fée

Tour à tour entrons dans la danse

Et partageons ce bonheur sans limite.

Depuis que je t’attends, que je t’observe, que je te désire
Tu es ce soir enfin pour moi l’objet de mes délires
Tu es ma tendre, ma douce, ma chérie, ma belle
C’est sûr, à n’en pas douter, le jeu en vaudra la chandelle.

Tu t’avances peu à peu et déjà ton parfum capiteux
Sublime les sentiments de ton bel amoureux
Tous mes sens épicés sont en alerte
Serait-ce donc ce soir que je cours à ma perte ?

Je sais qu’il faut prendre du temps, gérer la crise
Mais là ce n’est pas une mince entreprise
Car déjà, tes pupilles luisantes et coquines
Précèdent tes mains douces et félines.

Tes exquises caresses démoniaques et sensuelles
Me transforment en vulgaire objet sexuel
Je suis sans force, sans résistance, je suis ta chose
Depuis que sur ma peau, tes doigts se posent.

Ta bouche, avec lenteur, m’effleure le dos
Je n’en peux plus, comment sortir de ton étau ?
J’abandonne, je jette l’éponge,tu me dégustes
Je suis ton pantin, ton jouet, je ne suis pas robuste.

Tu me mordilles, me lèches et me suces
Je te sens coquine, excitée comme une puce
Ce soir, perverse amazone, c’est toi qui chevauche
Demain , je te promets, c’est moi qui te débauche.

Il y a longtemps le baron avait une boniche,
Elle était jolie , elle s'appelait Théoliche
Tous les matins elle nous montrait ses jolies miches,
Elle était bien belle mais pas très riche
Mais elle avait de fines cuisses de biche

En ce temps là, plus d'un homme aurait aimé la culbuter,
Faut dire que la belle savait bien les exciter,
Elle avait une jolie croupe et de beaux seins bien galbés
Quand elle traversait la place, tous les yeux étaient rivés,
Sur ses fesses rebondies qu'elle faisait tortiller,

C'est le Jean, le premier qui lui a glissé
La belle avait paraît-il aimé,
Et même qu'elle en aurait redemandé,
Faut dire que le Jean en avait une bien musclée,

Depuis ce jour, la jolie ne s'en est plus privé
De la visite, elle en avait, même des hommes mariés,
De l'argent elle n’en voulait pas, elle aimait juste s'amuser,
Le baron était désolé, il regrettait sa belle effrontée !