D’un geste tu dégrafes mon pantalon
Prestement il se cale sur les talons
Mon attribut viril tend mon caleçon
Vais-je passer pour un étalon ?
Tes mains caressent ma peau nue
Féline, câline, mutine, ingénue
Tu mets mon cœur à nu
Quand tu t’éloignes à pas menus.
Mais lentement tu te dévêtis
Moi sagement me languis
Avec toi jamais ne m’ennuie
De jour comme de nuit…
Près de moi tu t’allonges
Les caresses tu prolonges
La vallée de l’amour je longe
La fièvre des sens me ronge…
Quand sur toi enfin je plonge
Je libère cette énergie qui me ronge
C’est encore plus brûlant qu’en songe
Mais qu’as-tu donc fait de l’éponge ?
La nuit file sans escale
Et contre toi je me cale
Bien plus, je me régale
Zut, sept heures, il faut que je me cavale…
Mai 2025 | ||||||||||
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