Avec mes lèvres j’aime te réveiller
Parcourir ton corps de mille baisers
Faire monter doucement le désir
Et sous mes doigts ta peau frémir

J’aime sentir encore une fois
Ton désir s'accentuer
Alors que tes mains de soie
Doucement veulent me choyer

Attisons nos corps, nos âmes
Vers une danse charnelle
Embraser encore la flamme
Pour que nos corps se mêlent

Cherchons à incendier sous l'étreinte
Nos corps et s'arquer de plaisir
Se susurrer des longues plaintes
Se créer peu à peu notre empire

S'épanouir enfin dans la moiteur salée
De nos corps repus et essoufflés.
Epuiser jusqu’à la dernière goutte d'amour
Et vivre sans limite la volupté glamour.

Depuis quelque temps
J'ai le privilège de t'avoir comme amie
J'ai grâce à Internet, pu me créer une nouvelle amitié
Qui m'apporte joies et bonheur.
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Au fil des jours, ton amitié m'est devenue très précieuse.
Nous ne nous connaissons pas vraiment
Et peu importe que tu sois riche ou pauvre,
blanche, noire ou jaune.
Pour moi cela n'a aucune importance.
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Tu es pour moi, la personne la plus charmante
Car si j'ai besoin de parler, de me confier
Tu es là d'un coup de clavier.
Que je cherche un fichier ou une information,
Ta présence m'apporte l'aide dont j'ai besoin.
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Entre nous, nul besoin de merci, car amis nous sommes.
À ma connexion, ta présence y est,
Je peux sans crainte te confier mes joies, mes peines
mes rêves, mes tracas.
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Pour tout ce que tu représentes
Je n'ai pu résister à l'envie de le dire.
Te dire que ton amitié m'est immensément précieuse
Et que toujours je souhaite la garder.
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TON AMITIÉ M'EST PRÉCIEUSE

ET MAINTENANT CETTE AMITIE

S’APPELLE L’AMOUR !

C’est l’histoire d’un p’tit gars qui traînait sa peine dans son cabas

Il n’avait pas de passé, encor’ moins d’avenir dans ce pays-là

Il partit à l’aventure chercher pensait-il un petit coin de bonheur

Laissant derrière lui, son trouble, sa peine et ses malheurs.

Il quitta sa Gascogne vallonnée pour découvrir la plate Hollande

Il rencontra une belle flamande, et fit escale à sa demande

Il lui parla de ses chagrins, de ses envies, de ses espoirs

Elle l’accueillit avec le gîte et le couvert pour plusieurs soirs

Et le p’tit gars enfonçait sa peine au fond de ses grandes poches

Il se mit à espérer, à sourire, lui qui se croyait trop moche

La douce flamande, bien que réservée, lui fit les yeux de braise

Si bien que le p’tit gars sans passé connut enfin l’amour balaise

C’est l’histoire d’un p’tit gars qui traînait son bonheur à plein bras

Et qui sans crier gare, posa musette et guenilles chez la belle de là-bas !

C’est à partir de ce jour que le p’tit gascon découvrit le bonheur

Auprès de sa belle flamande, une fille charmante au grand cœur

Ils partagèrent un quotidien de simplicité, de chansons et de rires

Et c’est très bien comme cela, ça m’a permis de vous l’écrire !

C’est l’histoire d’un p’tit gars qui traîne des marmots au bout des bras…

Oh mon beau miroir
Dis moi la vérité   
Dois-je rester dans le noir
Ou continuer à chercher
Le soleil à quitter la vallée
Il commence à pleuvoir
Rêve triste d'un soir
Je crie mon désespoir
Plus personne pour m'aider
Déchirure, coeur blessé
Je n'ai plus le pouvoir,
Quelqu'un frappe à la porte
La mort vient me chercher
Mon heure est arrivée,
Retour vite fait sur mon passé,
Des regrets ?
Pas vraiment, j'ai été aimée,
J'ai aimé je suis fatiguée, je dois y aller..............

Colombe

Oh toi, ma douce Colombe
Belle et adorable brune
Tu ne comptes pas pour des prunes
Tu n'as pas un pied dans la tombe
Loin de toi  ton amant  se languit
Il sent ta peine et tes soucis
Il s'ennuie quand tu déprimes
Il se réjouit de tes joies
Il partage bien plus que des rimes
Seule chose importante c'est toi
Dans une semaine, un mois, un an
Je partagerai, ton lit, ton banc
Tel est notre pacte, notre serment
Quel que soit le jour et le temps
Je serai toujours ton fidèle confident !

Lou

Mais les cuisses s'ouvrent. Victoire !
Voici le con dans son beauté,
Sous sa frisure blonde ou noire
Adorablement abrité,
Humide comme une prunelle,
Frissonnant déjà comme une aile.
La main de l'amant t'entre-baille
Vivante rose de cypris,
Et tout de suite elle travaille
D'un doigt léger, le clitoris