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Ma belle et douce colombe mutine
Grelottant dans les frimas du matin,
A la recherche de laurier et de thym
Que fais-tu dans la fraîche ravine ?
Avant le soleil, avant le moineau,
Avant la pointe du petit jour,
Quand le village somnole encore
Que fais-tu là mon bel amour ?
Belle maîtresse tout esseulée
Tu trembles timide amoureuse,
Comme la fauvette moqueuse
Que cherches-tu ma bien aimée ?
Avant la fleur de l’âge, avant la retraite,
Avant le déclin des sentiments humains,
Cueille sans hésiter, d’une seule traite
Le bonheur et l’amour à pleines mains…
Un jour de ma vie que j’en avais plein le
DO
Je rencontrais une belle Colombe ado
RE
Rapidement elle devint mon a
Mi
Elle ne voulut pas me dire qui elle était, je donnais ma langue au
FA
Je n’avais pas de lit, je l’allongeais sur le
SOL
Elle ne voulut pas que nous en restions
LA
Je pris alors une voix adou
SI
Et l’invitais dans un doux do
DO
Elle avoua avoir ado
RE
Je lui ai demandé : veux-tu être ma douce a
MI
Et nullement se rebi
FA
Nous partîmes sous un para
SOL
Notre histoire n’en resta pas
LA
Puisque le bonheur s’installa au
SI
Et maintenant nous recherchons un
DO MI SI LA DO RE SOL FA SI LA SI RE
J’ai beau réfléchir, j’ai beau chercher
La vérité c’est que je t’aime à en crever.
Pour tout dire, pour dire vrai
Je t’aime plus que je n’imaginais .
Et c’est finalement très douloureux
D’être un homme amoureux…
J’ai juste besoin de tes bras accueillants
Pour m’y réfugier un moment.
Mes mains tremblent au son de ta voix
Mon cœur s’emballe quand je te vois.
Quand nos vies nous accaparent
Et qu’un instant tout nous sépare
Le monde entier s’écroule
Jusqu’à ce que sur le Net tu déboules.
En un mot je fais simple, je résume
J’ai pris une mauvaise habitude mais j’assume
C’est celle d’avoir peur de ne jamais t’aimer assez !
Comment savoir, comment comprendre ?
Ne rien maîtriser, ne rien apprendre
De la dure loi du temps qui passe
Tout va trop vite, tout me dépasse.
Le temps fuit trop fort, rien ne l’arrête
Pourtant dans les moments que tu me prêtes
J’ai la sensation que rien ne bouge, tout est figé
Pour un temps ma vie s’est immobilisée.
Tes bras, ma belle m’ont paralysé
Tes yeux de velours m’ont hypnotisé
Ta bouche veloutée m’a rendu muet
Mon esprit est totalement englué.
Mais déjà la vieille horloge du salon
Lance à tout va son cri à deux tons
Rappelant au monde la dure réalité des choses
Le temps qui passe sans cesse, jamais ne se repose.
Comment savoir, comment comprendre ?
Ne plus rien voir, ne rien vouloir entendre
Et mourir de bonheur au cœur de ta poitrine
Voilà un bel arrêt du temps ma coquine
Oh là qui es-tu coquin railleur
Qui vient apprécier ma prose
Je suis un simple rimailleur
Qui change le gris en rose
Cherchant la rime ici ou ailleurs
Tordant et pliant les bons mots
Tel un artisan ferrailleur
Fuyant de la terre ses maux
Je cultive l’amour de ma mie
Sans lequel je m’ennuie
Et quand la rime est trop plate
Je donne ma langue à sa chatte !
Un grand loup aquitain était amoureux
D'une romantique colombe aux yeux de jais
Ce loup au cœur tendre, qui l'eut, qui l'eut dit
Pleurait dans la lande, chantait dans la nuit
REFRAIN:
Ma belle colombe
Ma belle colombe
Ma belle colombe
C'est toi que je veux
Ma belle colombe
Ma belle colombe
Ma belle, c'est toi que je veux
Sur mon territoire, sans risquer ta vie
Tu peux venir boire à l'eau de mon puits
C'est fini la guerre que l'on se faisait
Contre ma pelisse, viens dormir en paix
Souviens-toi mon ange qu'au temps de Noé
Nous vivions ensemble sans nous disputer
À nous deux ma blonde on peut tout changer
Et refaire le monde, pour l'éternité
Il mit tant de flamme, dans son beau discours
Que même l'hippopotame en pleura d'amour
Les étoiles au ciel jaillirent de partout
Quand la douce maîtresse vint au rendez-vous
Les lions, les panthères, les rhinocéros
Et même les dromadaires vinrent pour les noces
Ils se marièrent et de leur union
Naquirent ma chère, des petits colomblous !
D’après Hugues AUFRAY
C’est lundi
Tout est gris
Tu es partie
C’est la vie
Dommage chérie !
C’est mardi
Je revis
Tu es là chérie
Quelle belle vie
Merci !
C’est mercredi
Ecole finie
Pas de garderie
Occupée ma chérie
J’en suis pas ravi !
C’est jeudi
Tu souris
Tout est permis
Je bondis
Comme un cabri !
C’est vendredi
Jour de céleri
Un jour de pluie
Mélancolie
Même à midi.
C’est samedi
Chérie est partie
Vers les Galeries
Acheter du persil
Bonjour l’ennui !
C’est dimanche
Un tour de manche
C’est ta revanche
Prends mes hanches
On s’en paie une tranche !
La douche d’après-midi excite les esprits
La pluie bienfaitrice dégouline petit à petit
Odeur de savon et de plantes odorantes
Près de là somnole une douce amante.
Episode serviette éponge, je rêve, je songe
Mon esprit s’évade puis une idée me ronge
Et si mon amour venait subitement à se réveiller
Oserait-elle me dévêtir, et longuement me câliner ?
Cheveux en place, parfum essaimé
Bouche fraîche, c’est le succès assuré.
J’entends du bruit, elle m’accoste, m’enlace
Ses mains sur mon corps se prélassent.
Me voici nu comme un ver dans ses bras félins
Ses baisers se font précis et des plus coquins
Elle est d’humeur joueuse, la situation l’inspire
Avec elle j’attends le meilleur aussi le pire.
Retour à la case départ mais en duo cette fois
Caresses mêlées, sa peau est douce comme la soie
Ses doigts glissants et savonnés m’explorent
Je savoure le moment, j’apprécie, j’adore.
Cascade de caresses polissonnes
Tonnes d’émotions aussi bonnes
Après rinçage et long essorage
Commence la séance de libertinage…
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