Viens ici, toi.
Viens ici, et soumets toi aux désirs de ton roi.
Viens goûter aux caresses,
Celle de mes mains parcourant tes formes de déesse,
De tes gracieuses épaules à tes fesses,
Suivant tes courbes invitantes, séduisantes, appétissantes,
Pétrissant tes seins généreux de femme adorée,
Flattant ton ventre soyeux où l'on sent quelque chose mouiller.
Suivant la courbe du dos ou remontant les cuisses,
Atteindre ce paradis luxurieux, théâtre de plaisir délicieux.
Un religieux parlerait de turpitude, de bassesse,
En référence à la courbure vallonnée de tes fesses.
Au fond de lui même, il s'imaginerait t'empalant,
Cognant dans ton séant si invitant,
Dans un moment de faiblesse honteuse.
Pouvoir profiter d'un séant à la chair généreuse,
D'une rondeur si exquise, au temple rose affriolant,
Aux lèvres vaginales béantes et pendantes,
Comme des portes ouvertes invitantes.
Laisse ton maître prendre soin de toi,
Laisse ton corps profiter des bontés de ton roi.
Calée dans mes gros oreillers,
Remonte ta croupe et laisse moi te chevaucher,
Comme le ferait un étalon de mon haras avec sa belle,
La plus désirable des femelles.
Laisse mon dard te butiner,
Ma belle colombe adorée.
Quel délice, de sentir ta croupe se chauffer,
Se mouiller, vibrer,
Frémir de plaisir.
Laisse entrer dans ta jungle humide mon membre en érection,
Prêt pour sa mission: bombarder ta grande vallée.
Qu'en dis tu, ma bien aimée?
Tu aimes jouir de moi ? J'aime jouir en toi, de toi .
Soumets toi aux désirs de ton roi .

Cette nuit tu es venue
Tu étais toute nue
Belle ingénue
Tu m’as bien eu !

Je t’ai embrassée
Tu m’as enlacé
Je t’ai caressée
On s’est aimé.

Avant minuit
Tu as joui
Mon bel outil
Etait ravi !

Partie au petit matin
Je reste sur ma faim
Seras-tu là demain ?
Que je t’honore sans fin…

La colombe a mis son joli costume,
Elle se parfume, une bougie elle allume,
Pour écrire à son amant elle prend sa jolie plume,
Elle commencera par: Mon amour,

Je t'aime pour toujours, comme le calembour,
Tu es si tendre comme les topinambours,
Toi mon joli troubadour avec ton tambour,
Tu fais chanter mon cœur,

Comme tous les agriculteurs,
Tu t'occupes de mon chou fleur,
Avec ardeur dans l’autocuiseur,
Attention à la vapeur, sinon faudra l'extincteur,

Ne me laisse pas languir, ni bouillir,
Va falloir réagir avant de vieillir,
Sinon je vais te punir,
Ou t'accueillir tu n'as qu'a choisir !!!!

Préférant l’accueil à la punition
Je vais me démener l’oignon
Pour m’occuper de ton chou fleur
Qui mijote à la vapeur !

J’abandonne mes cultures de topinambours
Et je cesse derechef mes pénibles labours
Filant ventre à terre rejoindre mon amour
Pour l’honorer et lui jurer fidélité pour toujours.

Nous ne parlerons alors que de ciboulette
Nous caresserons la douce minette
Et même si elle joue les midinettes
Elle sera traitée en vraie starlette…

Elle te fera une omelette avec la ciboulette,
Si tu es gentil la minette te fera le ronron
Elle adore quand on lui fait la causette,
Alors tu auras toute son affection,

Après une nuit de labeur
Les deux voyageurs
Se réveilleront à la fraîcheur,
En ce disant : Vivement l’heure
De manger du chou fleur

Ferme les yeux, laisse toi guider pour un soir
Comme la rose qui s'endort dans la nuit noire,
Mes mains seront douces sur ton corps ivoire,
Ma bouche te fera goûter à des plaisirs sans histoire

J'aime te caresser avec ma langue,
Laisse moi goûter à ce parfum de mangue,

Mon amant, tu es si attachant,
Comment résister à ce membre brûlant
Je veux le lécher, le sucer, c'est excitant,
Avoue que c'est plaisant

Doucement tu me laisses agir,
Tu ne peux plus te retenir,
Je veux te voir jouir,
Et t'entendre me dire
Je t'aime........

Colombe

Quand j'entends le chant des sirènes,
Je me souviens à quel point je t'aime
Laissons la vague nous emporter
Dans un tourbillon de baisers

Quand je vois le coucher de soleil à l'horizon,
Je me souviens de cette passion,
Laissons le vent souffler avec délicatesse
Toutes ses caresses,

Quand j'entends le chant des oiseaux
Je me souviens de deux tourtereaux
Laissons cette chanson , elle est pour nous,
Nos baisers sont si doux, aimons nous comme des fous